De l’amour du temps sans être fou
Cette poésie épistolière, réjouissance des mots contre la farce spirituelle et grotesque qu’on nous inflige, fait partie de la vie que nous sommes et que nous aimons.
C’est là, sensation du temps comme l’air qu’on respire, je l’éprouve avec vous en lecture en solitude en amitié en tendresse.
C’est là, simple réplique, non par foi, non par nihilisme. Chaque vers comme un accroche-coeur, réparant une blessure un accroc dans un tissu. les lire un à un pour qui veut bien entendre, du premier au quinzième vers, et puis retour au premier. Les répéter comme une méditation si le désir se fait sentir. ainsi chaque lettre à la suite, comme un bouquet, écrite de telle manière qu’elle ne soit jamais fanée.
Chaque corps est une âme comme une autre.
quatrième de couverture de de l’amour du temps sans être fou