“Ses poèmes sont toujours d’une concision extrême et d’une très grande densité.”
Emile Kesteman
“Du minimalisme ouvert sur l’immensité du mystère.”
Luc Norin
“La langue est libre et souveraine, longue et souple.”
Béatrice Libert
“J’ai découvert dans ses textes des trésors, semés dans quelques mots.”
Marie-Claire Beyer
“Lire Anee-Marielle Wilwerth, c’est accepter en nous-mêmes ce qui subjugue, comme le ferait le vin, l’interrogation silencieuse et la prière profane d’une ancienne clarté.”
Henri Falaise
“Des images d’une qualité incontestable.”
Marc Imberechts
Anne-Marielle tire le verrou des images par pudeur souvent, sur ce qu’il y a de plus secret en elle.”
Jacques Viesvil
“Ses textes, souvent proches du haïku, contiennent la dimention inventive qui manque à tant de poètes…”
Paul Van Melle
“Les poèmes estrêmement brefs naissent d’un regard posé sur le monde et d’une attention r”elle portée au retentissement intérieur de ce regard aigu.
Poésie ouverte sur la lumière qui jaillit inopinément de la vie.”
Lucien Noullez
“Les pôles d’intérêt, multiples dans la poésie d’Anne-Marielle Wilwerth, ont cette spontanéité de l’instant qui donne la mesure de sa hauteur d’âme.”
Jean Chatard
“Courts poèmes fragiles et denses qui dessinent un paysage mental à travers des métaphores picturales, maritimes ou musicales. Ils disent parfois la connivence avec le monde, souvent le doute et l’hésitation, la crainte et l’inquiétude, ils se heurtent à l’incapacité à dire qu’ont les mots.
Mais rien n’est asséné, seulement suggéré avec, en clôture du parcours, la volonté de poursuivre la quête et l’espoir d’atteindre transparence et lumière…
Denise Gellini
“Les poèmes d’Anne-Marielle invitent autant à la respiration qu’à la réflection. Il s’agit à la fois d’une poésie légère (par son mode d’expression) et chargée d’un intense sens de l’impact. Chaque page apporte des petits bijoux d’invention, une surprise heureuse. Chaque vers invite à la clarté, à une poésie inventive qui nous rassure sur son avenir. Anne-Marielle maintient, dans notre petit monde de créateurs, cette lumière qui, sans éblouir, souligne les merveilles de l’écrit.
Jean Chatard