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Que cèdent les portes de bronze Aux béliers de l’intelligence Qu’aux créneaux des chemins de ronde Les veilleurs qui faisaient le guet Accueillent les pélerins frères A son de trompe et d’olifant Délivrons-les de tous leurs liens Délivrons-nous de tous les nôtres Lavons leurs pieds de pélerins Pour l’enchantement de nos jours Les plus purs et les plus sereins Car ne sont-ils pas des seigneurs