Métissée de sang français et belge, Emmanuelle Ménard s’est très tôt intéressée à l’art sous toutes ses formes : poésie, récit, essai, théâtre, peinture. Durant ses études de Lettres Modernes, elle s’est particulièrement penchée sur les philosophes et moralistes du XVII et XVIII siècle.
Les rencontres, le monde qui s’agrandit à la mesure du regard amoureux que l’on porte sur ce dernier, tout ceci, pour elle, est nourriture et lui font sentir que « Si les mots sont un chemin, le chemin est aussi semé de mots ; des mots qui ouvrent toujours plus ! ». Des mots pour tenter de « Suivre l’homme en marche, celui rêvé par le génial Giacometti… Mettre ses yeux dans les yeux de la ville, du monde, de la vie. ».
Elle vit en Belgique depuis quinze ans où elle a notamment enseigné le Français et le FLE puis animé des ateliers d’art thérapie auprès de personnes âgées. En qualité de peintre, entre 2004 et 2011, elle a aussi eu l’occasion de participer à des parcours artistiques et expositions collectives dans différentes communes de Bruxelles (gouache, acrylique, huile).