Historien de Joséphine de Beauharnais (1963) et de Camille Desmoulin (1973), Jacques Janssens s’est progressivement tourné vers l’histoire de l’art.
Marqué par le romantisme de Michelet, Janssens s’est attaché à restituer le pittoresque de la vie et de l’œuvre de peintres qu’il aimait. Il en résulte “James Ensor” (1978), pertinent, subtil et évocateur.