Au sujet de Pérégrin :
“Marc Imberechts est un des rares à oser encore moduler sa forme d’expression, moderne certes par l’usage de l’assonance, du vers blanc ou de l’agrammaticalité, sur la magie du chant…Le poète s’inscrit donc là (au sujet de “Pérégrin”) dans une pensée magique et cosmologique, très proche d’ailleurs des conceptions cosmologiques des Amériendiens ou des animistes africains.” (Eric Brogniet, revue Sources, février 1999).”
“Pour Marc Imberechts lui-même, c’est le plaisir de me retrouver dans la rase campagne et la forêt profonde avec ce promeneur qui m’a toujours fait rêver. Son Pérégrin me ramène au temps où….je marchais. Entre autres dans une forêt d’Anlier et ses noms mythiques. (Paul Van Melle, Inédit, n°117.)
Au sujet de Paroles ouvertes au pré perdu :
“J’aime lire ces pages d’un marcheur et d’un observateur curieux de tout, d’un poète qui se fait humble, qui voudrait s’effacer pour que le monde végétal parle (…). J’aime cette poésie qui dit l’enchantement du quotidien, sans pour autant devenir naïve et gratuite. (…) J’aime cette voix, cette parole ouverte au lecteur, en souvenir du pré perdu, de l’instant vécu.” (Julie Wuidar, Salut et Fraternité, n°3, 18/01/1993)
Au sujet de Chronique de monotonie :
“Chronique de monotonie est une fois encore l’intégration de tout ce qu’a pu vivre ce voyageur en une manière de journal où poésie et apprentissage s’allient pour grimper plus haut, vers les horizons où le poète perd un peu pied. A chaque mot, à chaque ligne me prend l’envie de m’arrêter, mais il m’oblige à repartir plus loin, parlant en sage “de l’usage de la peau/ comme livre d’image” (Paul Van Melle, L’Inédit, n°137)
Au sujet de Ca n’a rien avoir…
“Concis, débarrassé de tout poussier superfétatoire, de toutes scories, le texte de M. Imberechts s’affirme dans cet ouvrage avec une simplicité proche de l’ascétisme. Les images, choisies par l’auteur, vivifient les nuances du langage sans l’altérer jamais….” (Jean Chatard, revue A l’index)
“Un lettrimage bon à toucher avec les mains, avec les yeux, avec le coeur. Un dépliant agréable à déplier, et dont lire les quelques textes et images est un chaud plaisir (même si, ou parce que…”ça n’a rien à voir” ; même si “la belle petite vie pas drôle” est la soeur “des bontés égarées” ou d’une “séduction (qui) n’a rien à dire”…)
ça n’a rien à voir et ça parle! (André Schmitz)