sa GEOFFROY Jean-Luc - Maison de la poésie et de la langue française de Namur

GEOFFROY Jean-Luc

Œuvres disponibles à la consultation

Biographie

Né le 21 juin 1953.  Animateur et coordination chargé de la promotion et de la diffusion littéraire des écrivains nés ou résidant en Luxembourg belge (Service du luxembourgeois)

Bibliographie

  • Cache-cache. Virton : La Dryade, 1973. (Variétés ; 34).
  • Poèmes pour moi et pour quelqu’un d’autre… Vieux-Virton : La Dryade, 1974. (Poésie Dryade ; 46).
  • Pluie d’illusions. : Virton : La Dryade, 1975. (Poésie Dryade ; 49).
  • Contes étranges de l’âme borgne. Virton : La Dryade, 1977. (Variétes ; 77).
  • L’enfant sadique et autres phantasmes. Virton : M. Frères, 1981.
  • Poèmes pour moi, 1974.
  • Pluie d’illusions, 1975.
  • Miserrances : nouvelles. Avin : Wilquin [Luce], 1996. (Euphémie).
  • La chambre morte. Marche-en-Famenne : Service du livre luxembourgeois, 1999. (Fantastique).
  • Une histoire d’amour : nouvelle. Marche-en-Famenne : Service du livre luxembourgeois, 1999.
  • Sans gravité : nouvelles. Bruxelles : Memor ; Luxembourg : Editions des Cahiers luxembourgeois : Nic Weber, 2001. (Transparences).

 

Textes

MAXIMES ET APHORISMES

Du noir le plus profond peut poindre une lueur.

Avant de pouvoir tolérer l’autre, il faut s’accepter soi-même.

L’amour n’a de liberté que dans un coeur qui dérobe de l’un et de l’autre.

Etre civilisé, pour l’homme, c’est refréner des envies que n’a pas celui qui ne l’est pas…

S’il nous fallait aimer tous ceux qui nous détestent, il ne nous resterait pas assez d’amour pour les quelques-uns qui nous aiment.

Qu’importe que l’on renie Dieu, si l’on aime les gens.

Faire comme Brassens tout au long de son oeuvre: ne rien gueuler, mais ne rien dire tout bas.

Si tu rencontre Dieur, dis-lui que moi, j’existe.

Il n’est pas besoin d’être à l’article de la mort pour savoir que la vie n’est qu’instants.

Chaque fois que je blasphème, j’ai l’impression d’entendre le bon dieu rigoler…

Seul le solitaire n’est pas un jeu de dupes.  Et encore…

On ne porte pas l’amour avec un fusil, quelque fleur qu’aborde le canon.

Plus je connais mes défauts, plus je suis persuadé que j’ai bien du mérite de ma supporter.