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LE DERNIER POEME
On préfère toujours
le dernier enfant
fût-il pâlot
le dernier poème
fût-il falot.
Enseingnez Seigneur
A mon coeur futile
A ne pas s'engouer
de la rime inutile
A préférer l'enfant
sauvé des eaux
de la médiocrité
A dédier mes vers
A l'éternité.